60 millions de consommateurs a dressé un bilan que les bouteilles d'eau... Il y aurait plusieurs pesticides très dangereux pour la santé !
Selon le magazine 60 millions de consommateurs, les bouteilles d’eau ne sont pas si bonnes pour la santé ! Il y aurait des pesticides très dangereux pour la santé !
Une information à ne pas prendre à la légère !
60 millions de consommateurs a dévoilé une info choc ! Toutes les eaux ne sont pas si potables que vous pouvez le croire… En effet, il y aurai des substances très mauvaises pour la santé. En effet, certaines bouteilles d’eau peuvent avoir une forte teneur en nitrates.
L’asso Générations Futures parle d’un grand danger sur la santé ! « Depuis, l’eau potable donnée à des dizaines de milliers de personnes en France contient donc de fortes quantités de nitrates. »
En 2019, 252 résidus de pesticides étaient dans l’eau courante de l’Oise. 60 millions de consommateurs a dénoncé certaines marques. Comme la Claudia qui pourrait bien avoir un impact sur la santé ! C’est surtout la bouteille de 1,5 l. qui est pointée du doigt.
Ainsi que l’eau minérale naturelle gazeuse de 0,5 l de la marque. Alors la question se pose, cette marque sera-t-elle bientôt interdite sur le marché ? Affaire à suivre ! En attendant, d’autres bouteilles d’eau minérale contiennent une contamination au staphylococcus.
La situation est grave ! 60 millions de consommateurs dénonce aussi d’autres marques ! Par exemple, il y a les bouteilles d’eau de Carrefour, Volvic. Mais aussi Perrier, Badoit, Evian et Vittel. « C’est grave pour les clients qui sont certains d’acheter de l’eau pure. Ils se retrouvent avec des produits avec du plastique mauvais pour la santé ».
Depuis le 6 avril 2023, l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) veille à la sanité de l’eau. Selon le magazine, une substance étrange sort du lot, parmi les 157 qui ont été prélevées. On vous en dit plus ci-dessous.
60 millions de consommateurs parle d’une autre substance étrange !
Mais ce n’est pas tout ! 60 millions de conso » rapporte aussi qu’il y aurait une autre substance étrange parmi les 157. Il s’agit alors d’un métabolite qui vient de la dégradation d’un ‘chlorothalonil‘. Celui-ci inquiète l’Anses car elle l’a retrouvé dans plus d’un prélèvement sur deux.
Le magazine dénonce aussi des « dépassements de la limite de qualité de 0,1 µg/litre dans un plus d’un prélèvement sur trois… Suite à la publi en 2019 de données suisses indiquant qu’il était dans les eaux de conso en Suisse ».
Ces constats ont donc conduit à une interdiction d’utilisation du pesticide en question. Pour rappel, la France interdit son utilisation depuis 2020. Pourtant, les résultats du 6 avril montrent qu’il est toujours présent. Comment cela est-il possible ?L’Anses explique que les pesticides restent encore dans la nature :
« Des pesticides peuvent donc rester présents dans la nature. Même des années après l’interdiction de la substance active dont ils sont issus ». Alors à Lausanne (Suisse) a décidé d’écarter les captages du réseau. Et pour cause ! « C’est l’eau du lac qui présente des taux inférieurs à la limite. Mais que vont pouvoir mettre en œuvre les villes ? »
Il est donc très important mettre en place une meilleure gestion de l’eau. Et une meilleure surveillance ! Car encore une fois, ce genre de pesticide peut avoir un gros impact sur la santé.
D’autant plus que nous buvons de l’eau tous les jours. Alors pour le moment, les autorités complètent « la liste de molécules à surveiller. Et elles définissent des mesures de gestion vis-à-vis des composition »