Les retraités vont être très déçus en apprenant le durcissement des règles et les contrôles si vous passez la retraite à l'étranger !
Les personnes qui souhaitent partir à l’étranger tout en touchant leur retraite vont être déçues… Car Gabriel Attal souhaite mettre en place plus de contrôles strictes ! On vous dit tout !
De nouvelles règles pour le départ à la retraite
Les manifestations des français n’ont pas empêcher Emmanuel Macron de mettre en place sa réforme des retraites… Il a demandé aux français de ne pas en faire une guerre :
Alors, Emmanuel Macron demande la paix ! « Je suis tout à fait conscient que cette réforme des retraites suscite beaucoup de désaccords. Mais je souhaite qu’elle ne nous empêche pas d’aborder les pages d’avenir. Personne n’est content de travailler deux ans de plus. On préférerait tous n’avoir que des bonnes nouvelles à annoncer ».
Le Conseil constitutionnel l’a bel et bien adoptée. Il y a donc du changement car l’âge de départ à la retraite n’est plus fixé à 62 ans mais à 64 ans. Les travailleurs nés à partir du 1ᵉʳ septembre 1961 doivent donc valider 169 trimestres.
Désormais, sachez qu’il est inutile de racheter des trimestres. Mais ce n’est pas tout ! Car l’État prévoit un autre changement… Celui de durcir les règles pour les personnes veulent toucher leur retraite à l’étranger.
Le ministre délégué chargé des Comptes publics veut mener une lutte anti-fraude sociale. Alors pour cela, il tient à doubler les redressements d’ici 2027. « L’ensemble des dossiers des personnes de plus de 85 ans. Et, qui résident dans un pays étranger sans échange d’état civil avec la France feront l’objet d’un contrôle sur place. »
Mais la question se pose, quelle est donc la raison pour laquelle il souhaite mettre en place plus de contrôles ? Selon la Caisse nationale d’assurance vieillesse (CNAV), il y aurait beaucoup trop de fraudes… En effet, un million de pensions seraient versées à des retraités à l’étranger.
Beaucoup plus de contrôles
Mais des aides vont aussi dans le portefeuille des personnes décédées… C’est donc une perte d’argent pour l’Etat français. « Cela permettra d’assurer qu’il n’y a aucune pension de retraite après le décès de son titulaire, hors réversion à bon droit. »
Avant d’ajouter : « En matière d’allocs sociales, l’objectif est fixé à 3 milliards d’euros de préjudice par les CAF. Et, les caisses de retraite. La lutte contre la fraude à la résidence représentera donc un gain de 100 millions d’euros pour les CAF ».
Gabriel Attal tient à mettre place des règles strictes. « L’ensemble des dossiers des personnes de plus de 85 ans. Et, qui résident dans un pays étranger sans échange d’état civil avec la France feront l’objet d’un contrôle sur place. », explique-t-il.
Les personnes ayant plus de 85 ans vont avoir beaucoup plus de contrôles ! « Cela permettra d’assurer qu’il n’y a aucune pension de retraite après le décès de son titulaire, hors réversion à bon droit »,
Dans son allocution, Gabriel Attal ajoute aussi que le projet de contrôles devrait contribuer à faire en sorte qu’aucune pension ne soit là une fois que le retraité est décédé. Sauf pour ce qui est de la révision à bon droit. Sachez que 1000 personnes de plus de 98 ans ont reçu une convoc’.
Et, comme l’avait dit le ministre, 30% d’entre elles seraient décédées. « En matière d’allocs sociales, l’objectif est fixé à 3 milliards d’euros de préjudice par les CAF. Et, les caisses de retraite. La lutte contre la fraude à la résidence représentera donc un gain de 100 millions d’euros pour les CAF ».