Si vous avez l'un de ces modèles de voiture vous ne pourrez plus conduire en 2025

En 2025, les règles de circulation changent et vous pourriez être impactés. Certains modèles de voiture ne pourront plus circuler...

Certaines voitures affichent de nombreuses années au compteur. Raison pour laquelle certains modèles ne pourront plus rouler sur le territoire en raison de leurs émissions de CO2.

Des voitures vieillissantes

La 2G, technologie mobile vieille de plus de 20 ans, reste essentielle dans certains domaines en 2024, notamment dans l’industrie des voitures. Elle est aujourd’hui au cœur de discussions entre Bruxelles, les opérateurs télécoms et les constructeurs automobiles.

Cependant, la suppression progressive de ces réseaux pose un défi majeur. Environ 36 millions de voitures en Europe pourraient être impactés, car nombre d’entre eux ne sont pas compatibles avec les technologies plus récentes comme la 4G ou la 5G.

La Commission européenne étudie actuellement les implications de cette transition. Elle souligne l’urgence pour les constructeurs de moderniser leurs systèmes.

Depuis peu, des radars anti-bruits font leur apparition en France. Contrairement aux radars classiques qui surveillent la vitesse, ces dispositifs mesurent le bruit émis par les véhicules.

Si ce dernier dépasse 85 décibels, considéré comme la limite tolérable, le radar flashe le véhicule et une amende est automatiquement envoyée. Après une phase de test à Paris et Nice jugée concluante, le déploiement de ces radars s’étend à d’autres régions.

Comme à Bron (Auvergne-Rhône-Alpes), où les premières sanctions sont attendues cette année. Ces radars visent à réduire les nuisances sonores des voitures et à améliorer la qualité de vie dans les zones urbaines.

Des mesures pour réduire les émissions sonores en France

Initialement prévue pour juillet 2024, l’interdiction de circulation des voitures classés Crit’Air 3 dans les grandes villes françaises sera effective à partir de janvier 2025. Cette mesure concernera d’abord Paris et Lyon.

Ensuite, cette mesure va s’étendre à des villes comme Marseille, Rouen et Strasbourg. Mais alors, quels sont les véhicules concernés par cette nouvelle règle ?

Cette interdiction vise principalement les voitures diesel immatriculées entre 2006 et 2010. Les véhicules essence immatriculés entre 2006 et 2011.

Elle s’inscrit dans la continuité des restrictions déjà appliquées aux véhicules Crit’Air 4 et 5. Dans le but de réduire la pollution dans les centres urbains.

Les chiffres illustrent donc l’urgence de cette mesure. En effet, les véhicules particuliers représentent plus de 50 % des émissions de gaz à effet de serre du secteur des transports.

Ils se disent donc responsables de 26 % des émissions nationales d’oxyde d’azote, un polluant majeur. Les autorités espèrent ainsi améliorer la qualité de l’air dans les grandes agglomérations françaises.

Les alternatives pour les propriétaires de voiture Crit’Air 3

Pour aider les automobilistes à s’adapter, plusieurs dispositifs sont proposés. C’est le cas de la prime à la conversion pour remplacer une voiture Crit’Air 3 par un modèle plus récent ou moins polluant.

L’adoption de modes de transport alternatifs peut aussi se voir une option. Ainsi, les véhicules électriques ou hybrides ou les transports en commun sont une solution.

Les mobilités douces comme le vélo électrique se disent d’ailleurs encouragées. Les experts conseillent d’anticiper la revente des véhicules concernés pour limiter leur perte de valeur à l’approche de la date limite.

Cette restriction ne fait pas l’unanimité, d’autant qu’elle coïncide avec une réduction des aides pour l’achat de véhicules électriques. Le bonus écologique, qui atteignait 7 000 € pour les foyers modestes, se verra donc plafonné à 4 000 €.

Tandis que les véhicules utilitaires s’en voient totalement exclus. Cette contradiction soulève des critiques, notamment à l’heure où l’Union européenne prévoit d’interdire la vente de véhicules neufs autres qu’électriques à partir de 2035.

Avec une adoption encore timide des véhicules électriques en 2024. Et aussi sous la pression de pays comme l’Allemagne favorables aux e-carburants, cette règle pourrait se voir revisitée dès 2026.