Le monde du rugby est encore loin de celui du football d’un point de vue financier même si les choses évoluent très vite. Pour mémoire, nous vous avions dévoilé le classement des joueurs de football les plus riches en 2015. Certes les sommes que nous allons évoquer pour le rugby sont inférieures mais démontrent quand même que le rugby est en train de passer un cap.
Et le moins que l’on puisse dire est que le Top 14 domine largement ce classement. Des joueurs de classe mondiale sont attirées dans l’hexagone avec un très beau salaire à la clé.
10. Jamie Roberts – Racing Metro 92
Le gallois Jamie Roberts touche un salaire annuel de 518.000 euros.
9. Bakkies Botha – Toulon
Bakkies Botha, joueur sud-africain, joue à Toulon avec un salaire de 530.000 euros par an.
8. Thierry Dusautoir – Toulouse
Le premier français de ce classement est 8ème. Thierry Dusautoir, joueur de Toulouse gagne 556.000 euros par saison.
7. Morgan Parra – Clermont
Le demi de mêlée Morgan Parra évolue à Clermont avec un salaire annuel de 595.000 euros.
6. Bryan Habana – Toulon
La star sud-africaine Bryan Habana joue sous les couleurs de Toulon pour un salaire de 646.000 euros par an.
5. Jonathan Sexton – Racing Metro 92
Johnny Sexton, pièce maîtresse de l’équipe d’Irlande, joue sa dernière saison avec le Racing Metro 92. Son salaire annuel est de 674.000 euros.
4. Sam Burgess – Bath
L’anglais Sam Burgess évolue dans le club de Bath. Son salaire est estimé à 682.000 euros par an.
3. Leigh Halfpenny – Toulon
En janvier 2014, le gallois Leigh Halfpenny rejoint le club de Toulon avec un salaire de 818.000 euros par an à la clé.
2. Matt Giteau – Toulon
Deuxième de ce classement, l’australien Matt Giteau touche 955.000 euros par an depuis son renouvellement de contrat avec le club de Toulon.
1. Dan Carter – Racing Metro 92
Le leader de ce classement n’est autre que Dan Carter. L’ouvreur star de la Nouvelle-Zélande a signé un contrat avec le Racing Metro 92 pour la saison 2015. Il devient le joueur le mieux payé avec un salaire annuel de 1,3 million d’euros.
Des salaires très éloignés de leurs homologues footeux en Ligue 1.