Romario Dos Santos Alves a grandi avec les héros stéréotypés et bodybuildés des films d’actions américain des années 80/90. Lorsqu’il s’est lancé dans le bodybuilding, il souhaitait des résultats rapides, et a commencé à utiliser des injections de Synthol.
Romario Dos Santos a développé une dépendance quasi-mortelle à ce type d’injections musculaires. L’homme en a tellement abusé qu’il a failli être amputé des deux bras. On est donc bien loin de l’exemple de courage et de volonté de cet indien paralysé qui est devenu un bodybuilder respecté et reconnu.
C’est un raccourci mortel que l’apprenti bodybuilder de 25 ans a souhaité suivre. Plutôt que de passer des heures à sculpter son corps, il a décuplé son volume musculaire en ayant recours à des injections composées d’un cocktail mortel. Jugez plutôt : de l’huile, de l’alcool et des antidouleurs/analgésiques.
Évidemment ce volume facilement gagné a eu un prix plutôt lourd à payer, en plus de lui donner l’allure d’un monstre au mieux, ou d’une tumeur humaine au pire, ces injections ont infecté ses tissus musculaires et lui ont causé des problèmes rénaux. Un tel cocktail de toxines n’est évidemment pas sain pour le corps humain.
Après des analyses poussées à l’hôpital à la suite d’une insuffisance rénale, le diagnostic tombe : il va falloir amputer. L’homme entre alors en dépression. Finalement l’issue sera plus favorable, les médecins ont pu retirer les parties nécrosées de ses tissus.
Aujourd’hui Romario se bat pour rester clean, il a d’ailleurs affirmé :
« Je regrette beaucoup, mon ambition est toujours de devenir un bodybuilder reconnu, mais je sais que le chemin est long à parcourir. »
Un excellent exemple à ne pas suivre, tout comme ces ravages de la chirurgie esthétique, surtout si l’on veut avoir des fesses « parfaites ».