Les parisiens ont une sexualité plus débridée que le reste des français

Voici la preuve que les habitants de la capitale ont un rapport au sexe plus libre que la moyenne des français. Ces dix chiffres vont vous étonner.

Une enquête Ifop menée sur 2000 parisiens met en lumière les mœurs des habitants de la capitale. Des personnes vraisemblablement plus frivoles, qui restent moins longtemps en couple. Mais ce n’est pas le seul élément découvert…

Presque la moitié des parisiens sont célibataires

43 % des habitants de la capitale sont célibataires contre 33 % des provinciaux et 35 % des résidents de l’Île de France. Chez les femmes, l’écart est bien plus élevé. La moitié des parisiennes sont célibataires contre 36 % dans le reste du Pays.

Seulement un quart ont une relation longue durée

Les couples dont la relation excède les vingt ans représentent 25 % des amoureux parisiens contre 41 % dans le reste de la France. Conséquemment, ils sont 25 % à être ensembles depuis moins de 3 ans, alors qu’à l’échelle du Pays, il sont seulement 15 %.

Presque la moitié sont ou ont été infidèles

La moyenne nationale est de 40 % d’infidèles, à Paris, elle s’élève à 46 %. Concernant les hommes, 58 % des parisiens ont eu une relation extra-conjugale contre 48 % de la gente masculine française.

9 % mènent une double vie

Durant cette enquête, 9 % des parisiens ont affirmé avoir deux partenaires au moment de l’enquête.

Ils pratiquent plus l’échangisme

Ils sont environ 15 % de Parisiens à avoir pratiqué l’échangisme. A l’échelle nationale, ils ne sont que 5 %.

Ils ont beaucoup plus de partenaires sexuels

Les Parisiens ont près de deux fois plus de partenaires sexuels que la moyenne avec environ 19 amants  dans une vie ,contre 11 dans le reste du Pays.

28 % ont fait l’amour sans connaître le prénom

Les aventures d’un soir sont à l’honneur, 66 % des hommes et 50 % des femmes ont eu une nuit sans lendemain. Mieux encore, 44 % des hommes et 14 % des femmes ne connaissaient pas le nom du partenaire.

Ils font plus l’amour dans les lieux publics

Les ébats sexuels dans les lieux publics concernent 42 % des parisiens, 44 % lorsqu’ils ont moins de 25 ans et 52 % lorsqu’ils sont étudiants.

Ils aiment bien les bifles

Un tiers des femmes ont reçu une bifle par les 47 % d’hommes qui en ont donné, à l’échelle du pays, les chiffres tombent à 21 % de femmes pour 35 % d’hommes. Par ailleurs, 80 % des parisiens pratiquent la fellation et le cunnilingus, 64 %, l’éjaculation buccale et 60 % l’éjaculation faciale.

Plus sujets aux plans à trois

Ils sont 29 % à avoir participé à un plan à trois et 22 % à une orgie. Dans le reste du Pays, ils ne sont plus que 16 % pour le triolisme et 8 % pour un nombre de partenaires simultanés supérieur à trois.

Puisque les rapports sexuels baissent quand l’homme fait le ménage, il est donc possible de présumer que les parisiens n’aident point souvent les femmes dans les tâches ménagères.