Notre moteur de recherche connaît mieux que quiconque nos états d’âme, car nous lui confions tout, ou presque. Il y a toutefois des limites.
En effet, même si Google semble avoir réponse à tout, même à nos questions les plus existentielles, méfiez-vous. Il y a des choses qu’on ne devrait jamais lui demander, car on peut avoir quelques mauvaises surprises.
1 – Google n’est pas votre médecin
N’essayez pas de vous auto-diagnostiquer en cherchant vos symptômes sur Google. Cela représente 1% des recherches Google. N’oubliez pas que les médecins étudient pendant sept longues années pour une raison bien particulière. Donc oubliez Doctissimo !
2. Google n’est pas votre psy
Google n’a pas la recette du bonheur, et votre humeur ne s’en trouvera pas changée. Elle peut même empirer.
3. Google est un mouchard
Il enregistre votre historique de navigation, même si vous passez en mode « incognito ».
Donc s’il s’aperçoit que vous faites des recherches jugés dangereuses, comme « nitroglycérine », vous serez probablement dénoncés.
4. Google est une archive d’images dégoûtantes
Si vous recherchez sur Google Images les mots suivants, vous risquez de vous retrouver mal à l’aise.
Pour votre bien-être, ne tapez jamais Tub Girl, Blue waffle (ou gaufre bleue), prolapse, calculus bridge, Mimi Mathy nue, krokodil, ou encore Megan Fox pouces.
On vous a prévenu !
5. Google est une mine d’informations vous concernant
Quand vous faites une recherche sur Google, le moteur de recherche enregistre automatiquement votre requête, les mots-clés, votre adresse IP, la date et l’heure de connexion, etc.
Les cookies recensent également des informations sur vos loisirs, vos passions, vos opinions politiques ou religieuses, quand vous visitez des sites Internet.
D’ailleurs, vous serez déconcerté en découvrant le nombre de données archivées vous concernant, rien qu’en tapant votre nom ou votre adresse e-mail.
En effet, même si vous demandez à Google de vous « oublier », il ne faudra pas longtemps au site sur lequel vous avez enregistré votre courrier électronique pour le propager sur le reste du Web, comme une pandémie. Et cela, même si vous surfez incognito.