Dans plusieurs États de l’Amérique du Nord, le port d’arme à feu est légal. Si le but est de laisser tout le monde avoir un moyen pour se défendre en cas d’attaque, il arrive des fois où l’exploitation des armes dépasse les bornes.
La vulgarisation des armes à feu n’est donc pas sans conséquence. Depuis le début de l’année, 9 533 personnes ont déjà été tuées par une violence armée. 235 d’entre elles ont été des victimes de fusillades en masse.
Voici quelques exemples d’attaques aux armes à feu
En début octobre à Las Vegas, 58 personnes ont été tuées par Stephen Paddock, 64 ans. Une année plus tôt, Omar Saddiqui Mateen, a ouvert le feu à la discothèque gay Pulse en Orlando et a fait 49 morts.
En Virginie, Seung Hui-Cho, un étudiant de 23 ans a tiré sur des foules à deux lieux différents et a fait 32 victimes.
En 2012, Sandy Hook a tiré avec une arme à feu sur 27 personnes tandis qu’Adam Lanza, a abattu 6 adultes et 20 enfants de moins de 8 ans à l’école primaire du Connecticut.
25 individus qui ont assisté à une messe dans une église au Texas ont été tuées par balles le 5 novembre 2017.
Nikolas Cruz a tué 18 personnes en février 2018. Le couple Syed Rizwan Farook et sa femme Tafsheen ont aussi tiré sur 14 individus. Ce fut en Californie.
Des assassinats bien avant les années 2000
George Hennard a tiré sur 23 personnes présentent dans un café à Killeen au Texas en Amérique, après avoir écrasé son camion à travers le mur et avant de se tuer lui-même. C’était le 16 octobre 1991.
21 personnes ont aussi été victimes d’une attaque surprise de James Huberty, 41 ans à San Ysidro, Californie en juillet 1984. En aout 1966, Joseph Whitman, un ancien marine a tiré sur 18 personnes.