L’idée de photographier des centenaires a germé dans l’esprit de la photographe Anastasia Pottinger, quand, un jour, elle a eu l’opportunité de photographier une femme de 101 ans.
Se pliant volontiers à l’exercice, la femme s’est laissée prendre en photo en ayant qu’une seule doléance : qu’elle ne soit pas identifiable.

Respectant son vœu, Anastasia a commencé à shooter et a découvert une nouvelle cartographie du corps : celle de la peau qui plisse, qui pend, qui s’étire et qui fout le camp.

Est née alors l’envie d’en photographier d’autres… Le résultat est plus que bouleversant. Parce que ça parle de nos aînés mais aussi de ce qui nous attend.


Si tu t’imagines
Si tu t’imagines, fillette fillette
Si tu t’imagines
Qu’ça va qu’ça va qu’ça
Va durer toujours
La saison des a
La saison des a
Saison des amours
Ce que tu te goures fillette fillette…

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