L'aspartame est présent partout. Que ce soit dans les médicaments, dans les sodas ou les chewing-gums, ce sucre de synthèse est dangereux.
Introduit en France depuis près de quinze ans, l’aspartame est un substitut du sucre. Ce dernier est censé être moins dangereux pour l’homme, mais en réalité, il provoquerait des cancers…
L’aspartame, la fausse bonne idée ?
L’aspartame est un édulcorant artificiel très sucré. Son utilisation est multiple dans le monde et en France, il est utilisé dans de nombreux produits alimentaires au quotidien.
Pour l’histoire, ce dernier a fait l’objet d’une découverte en 1965 par le chimiste James Schlatter. Par la suite, l’aspartame est devenu populaire dans les années 1980.
Ce dernier se dit composé de deux acides aminés, l’acide aspartique et la phénylalanine, qui sont liés à un groupe méthyle. Il est environ 200 fois plus sucré que le sucre que l’on consomme habituellement.
En revanche, la différence notable, c’est qu’il contient très peu de calorie. Ce qui en fait un choix populaire pour les personnes souhaitant réduire leur apport en calories et en sucre sur le long terme.
L’aspartame se veut donc utilisé dans de nombreux produits alimentaires. On peut en trouver dans les sodas, les chewing-gums, les gâteaux, les produits laitiers et même les médicaments. Ce dernier se veut donc également utilisé dans certains médicaments et compléments alimentaires.
Un dérivé du sucre très controversé
Même si l’aspartame est omniprésent, certains spécialistes mettent en garde la population. En effet, des études scientifiques ont fnait l’objet d’évaluation pour mesurer ses effets sur la santé.
Et la plupart d’entre elles ont ainsi conclu que l’aspartame se dit sans danger pour la consommation si les doses se veulent respectées. Mais, pour d’autres, ce sucre serait un danger.
En effet, les personnes atteintes de phénylcétonurie (PCU) doivent éviter l’aspartame. La raison est simple : elles ne peuvent pas métaboliser correctement la phénylalanine présente dans l’édulcorant.
D’ailleurs, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’aspartame est « peut-être » cancérigène. Une nouvelle étude l’a démontré il y a quelques jours.
En effet, cet édulcorant artificiel très courant pourrait être cancérigène. L’organisme n’a cependant pas modifié la dose journalière admissible, établie en 1981, 40 mg par kilogramme, pour une consommation « sans risque ».
L’aspartame contenu dans les sodas est très dangereux
Selon la base de données collaborative « Open foodfacts » l’aspartame contiendrait donc de nombreux additifs. La base de données contient 16 pages, avec une centaine de produits, soit 1600 références au minimum, rien que ça.
A noter que les produits se veulent cependant listés plusieurs fois, comme le Coca zéro, présent sous toutes ses formes. Coca zéro, pastilles Vichy, Dafalgan… L’aspartame est donc omniprésent dans tous les produits de notre quotidien.
S’il est aussi calorique que le sucre traditionnel, son pouvoir sucrant se dit 200 fois plus élevé. D’ailleurs, la plupart des bonbons en contiennent et plus particulièrement dans certains chewing-gums, les Mentos, les Ricola et les sucettes… La liste est longue.
Les yaourts, avec certains Actimel, les paniers de Yoplait, les « desserts lactés » d’Elle & Vire possèdent aussi de l’aspartame. Selon le ministère de la Santé, ce derier est aussi présent dans 600 traitements. C’est par exemple le cas du Dafalgan Codéiné, de certaines gélules de calcium ou du sirop Rhinathiol.
« Nous ne conseillons pas aux entreprises de retirer leurs produits et nous ne conseillons pas non plus aux consommateurs d’arrêter complètement leur consommation », a déclaré le Docteur Francesco Branca, lors de la présentation de deux évaluations. Le Nutri-score pourrait, selon BFMTV, avoir des effets négatifs sur certains produits. À suivre…