Si les innovations sont faites pour engendrer le succès, certains constructeurs se sont trompés sur toute la ligne. Ces derniers ont cru créer le produit du siècle, mais ont dû se résigner au flop du siècle. Découvrez ces produits qui n’ont eu aucun succès et pire encore, ils sont restés gravés dans les mémoires, tellement leur sortie ont suscité les moqueries.
Crystal Pespsi
Crystal Pepsi est un produit de Pepsi sorti dans les années 90. Le but de la marque était de proposer des produits qui paraissent plus clairs et propres. Crystal Pespsi a bien rempli les critères, mais les consommateurs s’attendaient à un goût aussi « light » comme un goût d’agrumes. Mais malheureusement, Pepsi a fait le mauvais choix en choisissant un parfum cola. Avec l’arrivée du Tab Clear de Coca-Cola, la situation s’est vite corsée, menant à la confusion, en plus de la déception. Pepsi Crystal est très vite retiré du marché et son bref retour en 2010 n’a fait que confirmer que les consommateurs ne veulent plus en entendre parler.
Google +
Personne n’a manqué ce message de Google annonçant l’année dernière la fermeture définitive de Google+, qui aurait dû être le réseau social préféré des utilisateurs, selon ses prévisions. Google a voulu surfer sur son succès, mais cela n’a pas fonctionné avec ce produit. La révélation des informations confidentielles de 500 000 utilisateurs vient rendre la situation encore plus complexe et a complètement fermé la porte du succès de réseau. Google a voulu empêcher ses concurrents de saisir une grosse part de ses revenus publicitaires en copiant bêtement sur Facebook, ce qui n’a pas été au goût du public.
Wow ! Chips
Dans les années 90, les consommateurs souhaitaient des chips moins gras. Pour répondre à ce besoin, Frito-Lay a produit le Wow ! Chips, où il utilise un substitut de graisse artificiel appelé Olestra. Cependant, l’information a vite fait le tour : ce composant n’est pas absorbé par l’intestin humain. Les consommateurs ont très vite compris dédaignés le chips qui pouvaient entraîner des douleurs d’estomac et des problèmes gastro-intestinaux.
Twitter Peek
La simplicité n’est pas toujours la solution idéale. C’est l’expérience vécue par Peek Inc. qui a voulu créer un appareil simple, juste pour partager des opinions à travers un tweet. Même avec un design adorable, l’échec a été total. L’efficacité de cet appareil lui a valu une très mauvaise note, vu qu’il ne laissait même pas la possibilité aux utilisateurs de montrer la totalité de leur tweet, mais uniquement les 20 premiers caractères. Et plus encore, c’était l’unique fonction alors que l’appareil avait la taille d’un smartphone.
Les téléphones Amazon et Facebook
Être des géants ne suffit pas pour attirer le succès. Facebook et Amazon ont vécu l’expérience en lançant leur propre smartphone. Facebook a proposé en 2013 un smartphone, d’entrée de gamme, fonctionnant sous Android. Mais les utilisateurs n’ont pas du tout aimé le fait que l’appareil ne pouvait être personnalisé comme les autres appareils Android. Amazon avec son téléphone Amazon Fire, lancé en 2014, a connu le même sort. Les utilisateurs n’ont pas apprécié l’impossibilité d’accéder aux applications les plus populaires de Google.
Le jeu vidéo E.T
Si le film a été un grand succès, la version jeu vidéo d’ E.T n’a pas eu droit au même accueil auprès du public. Réalisé par Atari, les joueurs ont boudé ce jeu qui était difficile à jouer. Le désastre est total. À la fin de l’année 1992, la firme a vendu 4 millions d’unités. Mais 2,5 millions ont été vite retourné à l’envoyeur et le reste est parti à la déchargé, tellement E.T était un fiasco total.
L’assistant numérique Newton
Cet assistant intelligent a été produit un peu trop tôt, incompatible avec son époque. Il s’agit du tout premier assistant numérique personnel. Sorti au début des années 90, cet appareil permet de disposer des fonctionnalités d’un ordinateur de bureau. Doté d’un stylet, le Newton permettait de prendre des notes, de stocker des contacts, de gérer des calendriers, à l’aide de la reconnaissance vocale. Mais la fonction de reconnaissance des caractères, qui a été l’argument de vente, a mené ce produit au fin fond du trou. La prise de note était confuse et finit par alimenter les moqueries. Steve Job a très vite retiré le PDA, une fois à la tête d’Apple.