Des designers ont créé une version expérimentale du célèbre livre Fahrenheit 451, qui ne peut se lire qu’après avoir pris feu.
Rassemblé dans un collectif appelé « Super Terrain », ces graphistes français ont travaillé en étroite collaboration avec le laboratoire hollandais Charles Nypels, de l’Académie Jan van Eyck, au Pays-Bas.
Ils ont revisité Fahrenheit 451, l’oeuvre de Ray Bradbury, sur les thèmes de la consumation et de l’inflammation. Un clin d’œil à la trame de l’ouvrage, qui parle de censure et d’autodafé dans un monde imaginaire.
Les pages du livre ont été recouvertes d’une couche de noir sérigraphiée, dissimulant habilement les mots. Ceux-ci ne se détachent qu’une fois soumis à une forte température.
Les designers ont partagé cette vidéo, afin de montrer la manière dont le livre sulfureux prend vie à travers les flammes.
Vous pouvez vous le procurer ici, mais sans cette fonctionnalité.