Cette bonne nouvelle concerne des millions de salariés pour l'année 2025

Les salariés face à une bonne nouvelle. En 2025, une excellente nouvelle du gouvernement concernera des millions d'entre eux.

L’année 2024 a été une année de réformes pour les salariés. Et l’année 2025 ne sera pas en reste, puisque des millions d’entre eux vont bénéficier de nombreux avantages sociaux.

Les salariés face aux réformes en 2024

En 2024, plusieurs réformes ont été mises en place en France, impactant directement les salariés. Tout d’abord, ces derniers ont assisté à une revalorisation du SMIC et des pensions de retraite.

En effet, le salaire minimum interprofessionnel de croissance (SMIC) a été revalorisé. Ce dernier a donc augmenté le pouvoir d’achat des travailleurs aux revenus les plus modestes.

Par ailleurs, les pensions de retraite ont été revalorisées de 5,3 % au 1ᵉʳ janvier 2024. Cela a donc amélioré ainsi le pouvoir d’achat des retraités.

Depuis janvier 2024, le montant net social, correspondant aux ressources à déclarer pour accéder au RSA. Et à la prime d’activité, figure sur tous les bulletins de paie.

Au 1ᵉʳ janvier 2024, Pôle emploi est devenu France Travail. Avec des missions élargies pour mieux accompagner les personnes en recherche d’emploi et les entreprises en recrutement.

De plus, l’orientation en milieu ordinaire de travail est désormais un droit universel. Il stipule que chacun peut travailler en milieu ordinaire.

Des nombreux axes d’amélioration

De plus, les jeunes de 15 à 20 ans ayant un dossier à la MDPH reçoivent automatiquement la reconnaissance de qualité de travailleur handicapé (RQTH). La VAE a été simplifiée et accélérée, avec un accompagnement renforcé des candidats.

Et une prise en charge totale ou partielle de leurs frais. Les candidats bénéficient à présent d’un congé pour leur VAE d’une durée portée à deux jours.

À présent, les femmes salariées se voient à présent exemptées des jours de carence en cas d’arrêt de travail lié à une interruption spontanée de grossesse. Ces réformes visent à améliorer les conditions de travail.

Mais aussi le pouvoir d’achat et l’accompagnement des salariés en France. Et ce, tout en renforçant l’inclusion et la reconnaissance des compétences acquises.

Récemment, un arrêté publié le 19 décembre 2024 au Journal officiel confirme une hausse de 1,6 % du plafond de la Sécurité sociale (Pass) pour l’année 2025. Si cette évolution peut sembler modeste, elle concerne directement de nombreux salariés.

Bonne nouvelle pour les salariés en 2025

Mais aussi les employeurs, car ce plafond sert de référence pour calculer diverses prestations sociales et cotisations. Pour rappel, le Pass se voit révisé chaque année en fonction du salaire moyen par tête (SMPT) de l’année précédente.

Après des hausses marquées en 2023 (+6,9 %) et 2024 (+5,4 %), la progression se voit plus modérée pour 2025. Voici les nouvelles valeurs prévues.

Le montant passe à 47 100 € par an (contre 46 368 € en 2024), 11 775 € par trimestre (contre 11 592 € en 2024). Et 3 925 € par mois (contre 3 864 € en 2024), puis 906 € par semaine (contre 892 € en 2024).

Il sera ainsi de 216 € par jour (contre 213 € en 2024), 29 € par heure (stable par rapport à 2024). Ce plafond joue un rôle clé dans le calcul de plusieurs prestations sociales.

Notamment les indemnités journalières pour maladie, accident du travail, maternité et paternité. Mais aussi les pensions d’invalidité, les pensions de retraite du régime général.

Ces ajustements garantissent une indexation des aides en fonction de l’évolution des salaires. Les employeurs utilisent également le Pass pour calculer les cotisations sociales (assurance vieillesse, chômage, retraites complémentaires).

Mais aussi les seuils d’exonération fiscale et sociale pour les indemnités de rupture, les indemnités versées aux étudiants en stage de plus de deux mois. Et aussi la contribution au fonds national d’aide au logement (Fnal).

En résumé, cette revalorisation du plafond de la Sécurité sociale impacte à la fois les salariés. En ajustant certaines prestations sociales, et les employeurs, en influençant les calculs de cotisations et d’exonérations.