Et si je te tirais le portrait… avec des élastiques ? Voici Dismorfobina, un projet de la photographe espagnole Natalia Pereira. La Barcelonaise aime contempler la transformation du visage causée par les élastiques.
La citation d’André Suarès pourrait très bien s’appliquer à la photographie :
La douleur est le grand peintre des portraits. Il est bien rare que le modèle aime son peintre.