Faustine Bollaert en larmes. L'animatrice a été choquée dans l'émission Ça commence aujourd'hui, suite au témoignage d'une de ses invitées.
L’animatrice Faustine Bollaert est une grande sensible. Depuis plusieurs années, elle accueille diverses personnalités dans Ça commence aujourd’hui. Et elle se dit parfois bouleversée par les témoignages qu’elle écoute.
Faustine Bollaert, figure incontournable de France 2
Depuis 2017, Faustine Bollaert recueille les récits de vie d’anonymes dans l’émission Ça commence aujourd’hui, sur France 2. Sur son plateau, l’animatrice de 43 ans reçoit des hommes et des femmes aux parcours inspirants.
Ses invités ont parfois connu des drames, des épisodes traumatisants, dont les événements de la vie entrent en écho avec les enjeux et problématiques de notre société. Chaque jour, l’émission rassemble des millions de téléspectateurs.
Les audiences sont donc toujours au rendez-vous, ce qui traduit l’enthousiasme du public pour la présentatrice. Sur le canapé rouge, ses invités lui confient leur intimité la plus totale.
Un exercice qui n’est pas toujours simple pour cette mère de famille. En effet, la maman d’Abbie et Peter a parfois du mal à gérer ses émotions. « Je me retrouve sans voix quand cela touche aux enfants, j’ai du mal à trouver mes propres ressources », a-t-elle confié à Femme Actuelle.
La compagne du romancier Maxime Chattam est une hypersensible. Et même si elle se doit de faire bonne figure face à ses invités, il est parfois dur pour elle de contenir ses larmes.
La technique de l’animatrice pour décompresser
En plus de Ça commence aujourd’hui, Faustine Bollaert est également aux commandes de l’émission Les temps changent – Le Couple : 50 ans de combat. Un rendez-vous télévisuel qui retrace cinquante ans de révolution sur le sexe, le couple et l’amour.
Pas facile pour l’animatrice de dégager du temps pour elle et sa famille. « J’ai appris avec le temps », a-t-elle confié à Télé Star au sujet de sa vie de maman et de présentatrice télé.
« Quand j’enregistre une émission trop lourde, j’ai besoin de faire plusieurs pauses dans ma loge pour décompresser par le rire avec mon équipe », a-t-elle fait savoir. Et d’ajouter : « Comme un besoin de légèreté ».
Faustine Bollaert a aussi ajouté que ses enfants sont aussi importants pour lui apporter l’équilibre nécessaire entre les histoires qu’elle recueille et son métier d’animatrice. « J’appelle tout le temps mes enfants pour qu’ils me racontent leurs histoires de cour de récré, ou je peux prendre rendez-vous chez le dentiste », a-t-elle fait savoir.
« Ça peut vous paraître anodin, mais pour moi, ça m’ancre dans la vraie vie et ça m’aide à sortir du chagrin très dur de mes invités », a-t-elle poursuivi. Lundi 22 mai, l’animatrice télé a été choquée par un témoignage sur France 2.
Faustine Bollaert choquée en pleine émission
Le début de semaine a plutôt mal commencé pour Faustine Bollaert. En effet, dans un numéro inédit de Ça commence aujourd’hui consacré au thème « Très jeunes, elles ont eu une liaison avec une star », la mère de famille a reçu plusieurs témoins.
Parmi eux, une femme qui a raconté avoir eu une relation avec Claude François alors qu’elle était encore adolescente. Son récit de leur premier rapport sexuel a été décrit comme une véritable agression.
Le chanteur français l’aurait « enfermée à clé » alors qu’elle souhaitait « partir » et n’avait aucune attirance pour lui. Elle l’aurait rencontré totalement par hasard à plusieurs reprises en tant que danseuse.
« Je n’emploie donc pas ce mot de viol. On va dire que la première relation était sans consentement« , a-t-elle déclaré, à Faustine Bollaert. La mère de famille n’a pu s’empêcher de prendre la parole.
« Pourquoi c’est si difficile de le dire ? Vous avez donc peur qu’on ne vous croit pas ? Moi, je vous crois. Mais je vous crois de tout mon coeur ! », a réagi Faustine Bollaert. Et d’ajouter : « Si vous n’avez pas donné votre consentement, vous avez été violée !' »
« Mais pourquoi j’ai continué après à le voir ? », a demandé l’invitée. La psychologue de l’émission lui a donc répondu : « À cause de l’emprise ! Faustine a raison ! Quand il n’y a pas eu de consentement, ça s’appelle un viol ! Peu importe qui c’est ! ». Un témoignage fort.