J’ai pu assister le weekend dernier à l’ouverture du 37e Festival du film Americain de Deauville 2011. Deauville, c’était une première pour moi, comme son tapis rouge de stars. Comme ce festical a lieu en même temps que celui de la Mostra de Venise, vous aurez compris que le festival de Deauville n’offre pas le même rayonnement médiatique que l’italien, proposant essentiellement des films indépendants (enfin, moins mainstream).

J’étais donc pas loin de Francis Ford Coppola quand il ouvra (rapidement) la 37ème cérémonie, dans l’immense salle du CID (1500 places !) :

Bon, Deauville est une ville très mignonne. On voit que ses habitants n’ont pas de problèmes à la fin du mois (ou au début), avec sa grande rue très classe, surtout près du Casino, avec de belles bâtisses normandes fort charmantes.

Le Printemps

La mairie

 

Deauville, une ville ou il ne faut pas faire n’importe quoi, surtout à côté du Barrière-Normandie

Deauville, c’est un peu le centre du monde, enfin, entre les Etats-Unis et la France.

Si tu as une envie de te baigner à la plage, faut un miracle. Du coup, on profite un max du festival qui diffuse des films 24h/24 pendant une semaine !


Du coup, on en a profité pour voir l’inauguration de la cabine de Coppola, devant la plage, non loin de celles de Susan Sarandon, Al Pacino :

Le tapis rouge la journée, c’est quand même moins glamour que le soir :

Tout ça pour vous dire que si vous aimez le cinéma, et surtout le cinéma américain, le Festival de Deauville, ce n’est pas qu’un défilé de stars, c’est aussi de nombreuses avant-premières j’ai pu voir La couleur des sentiments, Take Shelter, Drive (magnifique) (à voir demain soir Crazy Stupid Love) revoir de nombreux classiques Edward aux mains d’argent, Tetro (de Coppola), les promesses de l’ombre, Mulholland Drive ainsi que des séries inédites comme Borgias…

Un grand merci à Florian qui se reconnaitra, et à l’équipe d’Intercité, qui, même si elle a galéré pour me réaliser mon pass, était toujours très sympathique.