De nouveaux influenceurs se retrouvent pointés du doigt par la DGCCRS. Parmi eux, Julien Bert et Rym Renom !
Julien Bert, Laura Agogue et Rym Renom se retrouvent accusés de pratiques commerciales trompeuses. La DGCCRF, la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes annonce une sanction !
La DGCCRF enquête !
Depuis des années, Booba mène un combat contre ceux qu’il considère comme des stars de télé. Il n’a pas hésité à dénoncer les arnaques de Maeva Ghennam, Dylan Thiry, Magali Berdah. Jazz, Julien Bert et bien d’autres encore.
Bruno Le Maire a même décidé de le rejoindre dans son combat. « Il appartient à ces derniers. Comme à toute autre entreprise de respecter les dispositions du code lorsqu’ils font la promo de produits. Ou de services. Les injonctions les rappellent donc à l’ordre. Et invitent aussi leurs abonnés à la vigilance » expliquait-il.
Depuis, la DGCCRF sanctionne des stars de télé. Comme Capucine Anav, Julien Bert, Illan Castronovo. Mais aussi Simon Castaldi, Anthony Matéo. Ou encore Gaetan Debled et Léa Monchicourt.
Grâce à Booba, la loi 2023-451 du 9 juin 2023 est enfin promulguée ! On vous parle alors de la proposition « Delaporte-Vojetta » qui a pour but de mettre fin à la loi de la jungle. Et elle permet aussi de réguler l’influence commerciale« . Mais pour Booba, cela n’est pas suffisant.
Cette semaine, la DGCCRS a pointé du doigt d’autres candidats de télé-réalité. Comme Julien Bert qui a 2 millions de followers sur Instagram. Il est accusé d’avoir « mis en œuvre des pratiques trompeuses ».
Il aurait eu recours à « des présentations induisant en erreur le client sur les raisons. Et aussi sur les résultats de l’utilisation d’un service ». Il a aussi fait des promesses à propos du copy trading.
Julien Bert aurait fait croire à ses followers qu’ils auraient « la possibilité de gains certains en utilisant un service de copy trading ».
D’autres stars de télé pointées du doigt
Mais ce n’est pas tout ! Car Julien Bert n’aurait pas partagé la mention ‘pub’ dans ses stories. «Pour lesquelles l’influenceur reçoit de l’argent. Ou un échange de la part d’un annonceur », ajoute la DGCCRS.
Avant d’évoquer «l’absence de cette indication peut laisser croire au client que la reco’ est sous l’angle de l’expérience perso’ plutôt que celui d’une pub. Et ainsi le tromper ».
Julien Bert n’est pas le seul. Rym Renom qui a 1,8 million sur Instagram aurait aussi participé à des fausses pratiques. La raison ?
Elle aurait« mis en évidence [qu’elle] était rémunérée par des partenaires pour promouvoir leurs produits. Ou services dans ses com’ sans mentionner le caractère des ces dernières ».
Alors comme Julien Bert, elle ne respecte pas la règle. Car « toute com’ relevant d’un partenariat doit permettre d’identifier son intention. Et la personne pour le compte », ajoute l’agence de répression des fraudes.
Elle était bel et bien payée par ses partenaires. Pourtant, Rym Renom n’a pas mentionné qu’il s’agissait d’un acte commercial. Mais ce n’est pas tout ! Car la DGCCRF lui repproche aussi d’avoir fait la pub d’acide hyaluronique. Dans le but « de ne plus avoir de rides ».
Une pub réalisée « par une personne ne disposant pas de la qualité de médecin ». Cela est très grave ! Rym Renom doit donc stopper ces pratiques de toute urgence.
Sachez que Julien Bert et Rym Renom ne sont pas les seuls. Car Laura Agogue, ou Mam_active, a aussi été pointée du doigt par la DGCCRS.