La drôle de vérité derrière le mème viral d’Édimbourg

Un mème montrant une femme loin d’être enthousiaste et un homme lui criant à l’oreille dans un club a enflammé la toile. Cette photo venant d’Édimbourg rivalise avec Distracted boyfriend. Les internautes ont repris cette image en la publiant sur Twitter et en la détournant dans tous les sens. Aucun sujet n’a été épargné, allant du simple commentaire jusqu’aux déclarations politiques.

Deux amis dans un club

En réalité, les deux personnes sur la photo sont amies, le gars s’appelle Patrick Richie et la fille répond au nom de Lucia Gorman. Auparavant, les deux étaient dans la même école et ensuite ils se sont perdus de vues… Et, ils se sont retrouvés à danser toute la nuit à Milk, un club d’Édimbourg.

En parlant de la photo, Patrick a plaisanté que cela ne semblait pas bon pour lui. Lucie, de son côté, a admis qu’elle ne se souvient pas de ce que Patrick lui a dit : “Je pense que c’était surement la fin de la nuit et j’étais vraiment prête à aller au lit. Je me suis probablement dit que je hocherai la tête à n’importe quel propos”.

Un cliché “volé”

Les deux ne connaissaient pas l’existence de la photo, et ils ne s’attendaient pas à ce qu’elle soit virale. C’est David Wilkison qui a pris le cliché, il a été présent au club pour un événement avec Jack Fowler de Love Island. Le photographe a déclaré à Newsbeat qu’il a pris la photo juste avant de rentrer chez lui.

Selon Lucie “le jour où cela a explosé était le jour de mon anniversaire, j’ai reçu plus de messages sur la photo que mon anniversaire, donc c’était assez bizarre”. Rien de grave au final, les grands-parents de la jeune femme ont même trouvé tout cela drôle.

Un mème d’Edimbourg a traversé l’océan….

c’est ce qu’on appelle les boucles de désintégration, sans doute le travail le plus important de notre génération, je vous enverrai un lien vers les 6 LP BOX SET

« Ouais….donc en fin de compte, les mêmes politiques que Gorbatchev espérait provoquer, comme un changement radical en Union soviétique, ont fini par hâter sa disparition, tu vois ? »