Que faut-il faire après un décès ? Voici 7 démarches très importantes qui vont permettront de connaître les formalités, coûts, etc...
Quand un proche rend son dernier souffle, la tristesse est si bouleversante qu’elle peut vous empêcher de faire les démarches nécessaires. Mais quelles sont-elles après un décès ?
Que faut-il faire après la mort d’un proche ?
Après le décès d’un être cher, il faut effectuer des démarches au plus vite. Il n’est pas évident de les connaître, surtout lorsque cela vous tombe dessus, sans crier gare !
Nos confrères de L’indépendant ont dévoilé 7 démarches très importantes après la mort. Les voici dans cet article !
Les soins
Voilà la première démarche à respecter. Il existe d’abord les soins qui permettent de drainer les liquides et gaz du corps. Et ce, par injection d’un produit biocide. C’est donc un process qui retarde le processus de décomposition.
Mais aussi la dégradation du corps. Car après le décès, cela va très vite ! Pour soigner le corps, l’expert prend 1 à 2 h. Sachez que ces soins de conservation ne sont pas obligatoires.
Mais il vaut mieux les faire pour que le corps soit bien préservé. Attention ! Cela a un coût ! Il faut donc payer entre 250 et 450 €.
La sépulture
Il en existe bon nombre après un décès ! Elles peuvent être religieuses, culturelles ou perso. Par exemple, l’inhumation consiste à enterrer le défunt dans une tombe. Ou dans un caveau familial. Ou encore un mausolée.
Il existe aussi la crémation, qui consiste à brûler le corps. Ensuite, les cendres se retrouvent dans une urne. Elles doivent être dispersées en mer. Ainsi qu’en pleine nature… Ou dans un jardin du souvenir.
Il faut compter près de 3815 € pour une inhumation. Et environ 4000 € pour une crémation.
Des démarches très importantes
Des alternatives
Nos confrères de l’Independant évoquent aussi ces alternatives. Par exemple, il est possible de donner son corps à la science, pour des fins d’études médicales.
Dans certains pays voisins, l’aquamation est aussi autorisée. C’est donc une méthode qui utilise de l’eau alcaline chauffée pour accélérer la décomposition naturelle du corps. Enfin, il y a l’humusation, qui transforme le corps du défunt en matière organique.
Les démarches administratives
Il faut penser prévenir la famille, les proches et amis du défunt. Vous avez la possibilité de passer une annonce dans le journal, ou sur internet. Il faut dévoiler le certificat de décès du médecin qui a constaté la mort.
Cela permettra de déclencher les formalités. Et ce n’est pas tout ! Car il faut aussi contacter les services funéraires. Vérifiez aussi les volontés du défunt. Car la personne peut avoir écrit des conditions sur un testament dans un lieu précis ou chez un notaire.
Les documents
Le plus important ! Il faut retrouver le certificat, la carte d’identité du mort, le livret de famille, contrats… Il faut aussi présenter un justificatif d’identité de la personne qui déclare. Ainsi, la mairie remet l’acte de décès, en plusieurs exemplaires.
N’oubliez rien
Prévenez la banque du défunt. Et demandez un accès au Ficoba. Il s’agit alors d’un livret qui dévoile tous les comptes bancaires ouverts en France. Et ce n’est pas tout ! Car il faut aussi contacter l’assurance vieillesse de la Sécurité Sociale.
Nos confrères de Lindependant rappellent l’importance de bien demander le capital-décès auprès de la Sécurité Sociale. Ainsi que « le régime souscrit par des assurances. Informer aussi la mutuelle. Et les caisses de retraite, l’assurance de la voiture ».
Bref, vous l’avez donc compris, il ne faut rien oublier ! Pas même les fournisseurs d’énergie, l’opérateur mobile etc…
La succession
Après un décès, elle se fait par le biais d’un notaire.