Artiste visuelle, Sarah Hatton a mis en ligne le 14 novembre dernier une série de travaux visant à dénoncer l’abus de l’utilisation des pesticides néonicotinoïdes (qui agissent sur le système nerveux central des insectes).
Pour ce faire, Sarah a utilisé un matériau pour le moins insolite : des abeilles mortes. Elle les a ensuite disposées en formes mathématiques qui font références à la monoculture telles que la spirale de Fibonacci qu’on trouve dans la forme de l’implantation des graines de tournesol.
Pour l’artiste il s’agit de donner au spectateur une sensation de vertige face à une illusion d’optique élaborée à partir d’abeilles mortes.
Triste et juste à la fois.
Le site de Sarah Hatton