Dans un podcast Matthieu Delormeau a accepté de se confier sur ses addictions et ses névroses ! Il est sans filtre !
Sur le plateau Touche pas à mon poste (TPMP), Matthieu Delormeau a osé parler de ses addictions et de ses névroses ! Il en a parlé au psy et addictologue Laurent Karila dans le podcast « Addiktion ». On vous dit tout ci-dessous !
Matthieu Delormeau parle à coeur ouvert
Ce n’est pas tous les jours que Matthieu Delormeau parle de sa vie privée. Et pourtant, il a osé parler de lui dans le podcast « Addiktion » de Laurent Karila. C’est un habitué de l’émission « Ça commence aujourd’hui » sur France 2. Il a d’ailleurs fait quelques interventions sur le plateau de Touche pas à mon poste.
En effet, Matthieu Delormeau a décidé de parler à coeur ouvert. C’est avec stupéfaction qu’il a évoqué ses addictions. Le psy commence son podcast en le décrivant comme un homme très secret : « Derrière son sourire et sa personnalité joviale, se cache un autre Matthieu. Un Matthieu plus angoissé et dans le contrôle ».
Le Professeur Laurent Karila a donc parlé de son addiction au sport que l’on appelle « bigorexie ». « Ma salle de sport, c’est une séance de psy. J’y vais pour ce que ça va générer chez moi ».
Le chroniqueur de TPMP fait ainsi cinq séances de sport par semaine. Une addiction qu’il aimerait mettre de côté.
Alors, il a donc appelé un coach pour l’aider à avoir une routine moins stricte. « Comme des rendez-vous médicaux importants pour ma santé » ajoute-t-il. Matthieu Delormeau ajoute qu’il ne peut s’empêcher de faire du sport. du sport.
Autrement, il se sent très mal : « Quand je n’y vais pas, l’effet est immédiat : je me sens moche, irritable et pas joyeux. Matthieu Delormeau explique ainsi qu’il vit une dépression lorsqu’il ne fait pas de sport: « On a envie de s’isoler, on n’a pas envie d’être vu et d’aller vers les autres. Je compare cette séance à une pilule d’antidépresseur.
Une addiction expliquée en détail
S’il aime autant de déchaîner à la salle, c’est parce qu‘il n’a pas toujours été à l’aise dans sa peau. « J’étais maigrichon et complexé. Là-bas, les plus grands et les plus forts s’en sortent. Les autres prennent des claques. Je compare ça à la prison, si vous n’avez pas les muscles, vous subissez. »
Il s’est donc mis à la musculation à 21 ans, pendant ses études au Canada. « Plus je prenais du muscle, plus je me sentais fort et beau. J’ai eu le sentiment qu’on a commencé à m’aimer le jour où j’ai fait du sport et que, si j’arrêtais, on ne m’aimerait plus. »
Avant de poursuivre : « Une fois que vous montrez que vous êtes fort, vous n’avez plus le droit de montrer que vous êtes faible. » Alors Matthieu Delormeau évite le moindre faux pas. D’ailleurs, Géraldine Maillet lui a fait remarquer une grosse bêtise : « Géraldine Maillet s’est étonné que je mange un bonbon et m’a fait culpabiliser. J’avais le sentiment de la décevoir, d’être fragile et en situation d’échec. »
Matthieu Delormeau est bien conscient de son addiction comportementale : « Je ne me suis jamais regardé dans la glace en me disant que, ça va. Donc je suis content. C’est une course en permanence à la satisfaction qui ne vient pas. Si j’avais un enfant, je le mettrais à un sport ludique comme le tennis mais pas la salle. Je ferai donc en sorte qu’il n’ait pas les névroses qui créent un besoin d’y aller. Parce que c’est une tannée psychologique et sociale. »