Le Nikon Film Festival 2017, présidé par Cédric Klapisch, a rendu son verdict lors d’une soirée organisée le jeudi 23 février. Découvrez les résultats de la 7ème édition du festival de très courts métrages de 30 à 140 secondes sur le thème Je suis une rencontre.
Palmarès du Nikon Film Festival 2017
grand prix du jury : je suis ton meilleur ami
Matthieu arrive chez son pote Jules. Désemparé, Jules se confie sur son amour de collège reparti en Bulgarie sans qu’elle sache qu’il était fou d’elle. A la grande surprise de Jules, il s’avère que Matthieu la connait. « Je suis ton meilleur ami » traite d’une forme d’amitié singulière, en phase avec son temps…
Prix canal plus : Je suis #unebiche
Nina alias #Ninalabiche sur snap, est une jeune fille accro aux réseaux sociaux. Pour échapper à ses angoisses et à son manque de confiance, elle s’invente une vie avec un filtre de biche sur son téléphone. Nina est amoureuse de Jonas, un garçon sur internet qu’elle harcèle. Ce dernier la rejette faute de followers. Un jour, où elle bombarde la toile avec ses snaps, le virtuel rencontre le réel, Nina rencontre la biche et peut être même celui qu’elle aime tant…
Prix des médias : Je suis branché(s)
Mischa et Alex se rencontrent lors d’une soirée… L’espoir les animent, mais la réalité va les rattraper.
Prix de la mise en scène : Je suis à l’endroit
Héloïse est internée en hôpital psychiatrique car elle a un syndrome particulier, elle est la seule à marcher a l’endroit, dans un monde qui fonctionne à l’envers… Jusqu’au jour où elle n’est peut-être pas la seule…
prix des écoles : je suis une date
Anna, jeune fille attristée, décide d’aller à un rendez vous via une application bien connue : Tinder. Elle va retrouver Joe. Une rencontre banale, ratée, qui pourtant s’inscrira dans l’histoire, ce vendredi 13.
mention spéciale : je suis célibataire
Une brève mais intense histoire d’amour…
prix du public : je suis enchanté
Le jour où Paul présenta Eva à son père, c’était pourtant une belle journée de printemps. Le soleil réchauffait doucement l’atmosphère, et une brise légère apaisait tranquillement les esprits. On en oubliait presque que l’on était en avril 1940.