Le risque zéro n’existe pas et il est toujours possible de mourir foudroyé, ceci dit, savoir où les catastrophes naturelles sont le plus susceptibles de se produire est toujours intéressant. Autant limiter les dangers tant que faire se peut.
Pour vos vacances, privilégiez l’Islande, la Norvège, la Suède et la Finlande. Statistiquement parlant, c’est là bas que vous aurez le moins de risque d’être victime des foudres divines. N’allez pour autant pas faire vos cartons, la France n’est pas si mal placée au classement ! Elle fait d’ailleurs partie des pays avec un très faible risque. Sur cette même lancée, vous pouvez envisager un séjour dans la majorité des pays occidentaux, à l’exception de la Hollande. Enfin pour terminer la liste, Canada, Egypte, Arabie Saoudite et Mongolie ne présente pas non plus de dangers, tout du moins pas de dangers dus aux éléments.
A l’inverse, les kamikazes et autres suicidaires peuvent envisager une implantation aux Philippines, où, selon les statistiques, vous risquez, bien plus qu’ailleurs, de subir les désagréments mortels de dame nature. Japon, Nouvelle Guinée, Vietnam, Bangladesh, Madagascar, Nigéria, Sénégal, Tchad, Chili, Guyane, Haïti, Guatemala et leurs abords, sont également mal placés dans ce rapport.
Le calcul du risque de catastrophe naturelle
Pour déterminer les pays à risque, deux éléments sont prix en compte. Dans un premier temps, il faut surveiller l’exposition des lieux aux éléments dangereux, séismes, tornade, tempêtes, tsunamis, etc. Dans un second temps, il faut prendre en compte la vulnérabilité du pays, à savoir sa susceptibilité et son absence de capacité à réduire les conséquences et à s’adapter.
Mais, dès lors, on comprend mieux pourquoi avec une pluie de météorites la Russie présente de faibles risques de catastrophes naturelles, merci Vladimir Poutine qui les fait fuir d’un simple regard, vulnérables, eux ? Jamais.