Permis de conduire la bonne nouvelle est tombée et cela sera désormais plus facile de l'avoir !

L'examen du permis de conduire pourrait-il être plus simple à obtenir qu'auparavant ? C'est ce qu'avance un récent projet de loi.

Obtenir son permis est un pas vers l’indépendance. Dans quelques mois, une nouvelle loi pourrait passer, rendant l’obtention du fameux examen du permis de conduire beaucoup plus simple à obtenir.

Des aides pour passer son permis de conduire

Le permis de conduire est l’affaire de tous. En France, chaque année, des millions de Français se présentent à l’examen. Pour décrocher la petite carte rose.

Et si passer son permis est un investissement financier, en raison de son coût élevé, l’État peut vous permettre de le financer. En effet, la CAF propose plusieurs aides.

Le gouvernement est formel : « le permis B rassemble chaque année plus d’un million de candidats ». Un chiffre qui ne cesse de grimper. A mesure que la population progresse.

Avant de passer l’examen de conduite, les candidats doivent donc réussir le code de la route. Ils auront donc ensuite la possibilité de passer plusieurs heures de conduite.

Puis, s’ils sont prêts, ils pourront se présenter devant un inspecteur. Et sachez d’ailleurs que plusieurs astuces existent pour le payer à moindre coût.

En effet, l’État a ainsi mis en place un certain nombre d’aides financières pour passer l’examen du permis de conduire. Et certaines d’entre elles pourraient vous servir donc lisez bien ce qui suit.

Vous pouvez donc par exemple, bénéficier du permis à un euro par jour réservé aux jeunes de 15-25 ans. Autre moyen de passer son permis sans se ruiner : une aide de 500 euros pour tous les apprentis de France. « Pour bénéficier de cette aide fixée à 500 euros, il faut adresser son dossier. Au centre de formation des apprentis », peut-on lire sur le Service Public.

Des nouvelles mesures pour les chauffards

En France, les chauffards continuent d’être punis d’un an de prison et de se voir retirer leur permis de conduire pendant deux ans au minimum. Mais, des allègements seront toutefois introduits pour des cas spécifiques.

En effet, selon la révision bouclée mercredi par le Parlement, les personnes qui détiennent leur permis de conduire et qui réalisent des délits vont être sanctionnés, mais pas que…

Si le chauffard agit « pour un mobile honorable. Ou s’il n’a pas été condamné pour un crime ou délit routier grave au cours de la décennie passée », elles pourront cependant être réduites, apprend-on. Les juges gagnent ainsi une plus grande marge de manoeuvre.

Et ce n’est pas tout. En effet, le Parlement va présenter un projet qui prévoit une réduction des peines pour les ambulanciers, les pompiers et les policiers en service. « Seule la différence par rapport à la vitesse appropriée peut désormais faire l’objet d’une prise en compte » pour déterminer la peine, précise le média PME.

Un examen du permis de conduire plus souple ?

Dans les prochains mois, le permis de conduire pourrait devenir plus facile d’accès. C’est le souhait du député de la 2e circonscription de la Vienne, Sacha Houlié.

En effet, comme le rapporte le média Actu.fr, le politicien va proposer une loi qui facilite le passage et l’obtention du précieux sésame, rapporte Actu.fr.

Dans son texte, présenté le 15 mars prochain en commission des lois et la semaine du 27 mars à l’Assemblée, le député compte ainsi détailler trois leviers. Le premier est d’étendre l’utilisation du CPF à tous les types de permis.

Il souhaite ainsi créer une plateforme d’information détaillant les financements possibles, et aussi « donner l’habilitation d’examinateurs à des agents publics. Ou contractuels », précise le média Actu.fr.

« On le constate, les jeunes ne savent pas à quoi ils ont le droit », déclare Valérie Guillou, monitrice d’auto-école déléguée Unic auprès de nos confrères.

Un projet de loi qui fait déjà débat. Selon un député de la Vienne, ces dispositifs vont renforcer les inégalités, « car cela favoriserait surtout les enfants dont les parents n’en ont pas eu besoin. Donc ceux dont les parents, déjà salariés qualifiés. Et potentiellement avec des ressources », précise-t-il.