Quand on vit aux Emirats arabes unis, qu’on est un (très) riche promoteur immobilier, et qu’on adore les voitures,  alors rien n’est impossible, même en matière de plaque d’immatriculation.

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C’est le cas de Balwinder Sahni, personnage haut en couleurs qui vit bien évidemment à Dubaï, ville qui a fait parler d’elle en août dernier avec ce spectaculaire accident d’un Boeing 777. Voulant absolument apposer une plaque d’immatriculation à un chiffre sur sa Rolls Royce, l’homme a déboursé 8 millions d’euros aux enchères pour avoir l’objet de sa convoitise.

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Il faut savoir que cette somme est l’une des plus grosses dépensées à ce jour pour une plaque, mais qu’elle ne détient pas le record de 12,6 millions de dollars dépensés en 2008 par un homme d’affaires d’Abu Dhabi qui voulait avoir le numéro 1.

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Depuis, Balwinder Sahni indique qu’il ne se passe pas une journée sans qu’il ne soit arrêté dans la rue par des passants curieux qui désirent prendre une photo du magnat de l’immobilier devant sa voiture.

Se décrivant comme un « homme simple« , Baldwinder est fier de poser devant 2 de ses 6 Rolls qui sont à présent équipées d’une plaque à un chiffre. Il avait obtenu le numéro 9, l’année dernière, pour la modique somme de 6 millions d’euros.

Quand on lui demande si ce n’est pas un peu trop pour de simples plaques, l’homme répond que c’est sa façon de participer à la vie économique du pays et au Trésor public pour que son argent aille à des associations ou à l’amélioration de l’infrastructure de la ville.

Il faut savoir, en effet, qu’à Dubaï on ne paye pas d’impôts