Zac a eu l'idée du siècle ! Cette start-up française invente des lunettes recyclées à petits prix pour changer la vision du monde.
Et s’il était possible de collecter des lunettes usagées pour les remettre sur le marché à moindre coût. Une start-up française y a pensé pour changer la vision du monde.
Une invention qui change la vision
La vue se dégrade de plus en plus en France. Eh oui ! Ce sont près de 2 000 paires qui sont achetées chaque heure. Ce qui représente ainsi 23 millions sur une année. ET 17 millions pour les lunettes de vue et 6 millions pour les solaires.
Le constat est surprenant ! Car ce sont sept Français sur dix qui portent des lunettes. Mais la question se pose, quelle est donc la raison pour laquelle notre vision est de plus en plus mauvaise ? Il y a plusieurs raisons à cela.
Comme la possibilité de développer un trouble de la vision naturellement. C’est donc un symptôme oculaire qui se caractérise par une vision floue, et une réduction du champ visuel. Vous pouvez même perdre en netteté des images.
Si tel est le cas, il est important de consulter un ophtalmologue au plus vite, surtout s’ils sont persistants. Votre vue peut aussi se dégrader à cause de la pollution, ou de l’utilisation des écrans.
C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il n’est pas recommandé d’aller sur les réseaux avant de dormir. Ensuite, les troubles de la vie peuvent aussi être dus à une conjonctivite bactérienne, virale ou allergique.
La vue des personnes diabétiques peut aussi se dégrader. Il en est et de même pour les personnes souffrant de maladies cardiovasculaires. Enfin, l’âge est aussi un facteur de risque.
Ainsi, trois adultes sur quatre renouvellent leurs lunettes au moins tous les trois ans. Car leur vision continue de se dégrader. Une chose est sûre, le changement habituel de ces sauveuses peut contribuer à la pollution de Dame nature.
Cette start-up française invente des lunettes recyclées
Selon Izipizi, leur empreinte carbone n’est pas négligeable. En effet, le total d’émissions par lunette serait de 2 kg de CO2, 23 % à cause des matières premières. Et 22 % pour la production et le reste pour le transport.
Trop, c’en est trop pour l’entreprise Zac qui a donc décidé de s’attaquer à ce problème majeur. C’est donc Ophélie Vanbremeersch qui a eu une très bonne idée… Pour éviter le gâchis et la surconsommation, elle a donc eu un plan.
Avec son entreprise Zac, en hommage au nom d’artiste de sa mère, elle se consacre donc à la collecte et au reconditionnement de lunettes usagées. Ainsi, elle fait tout son possible pour les remettre sur le marché à moindre coût.
Les clients peuvent donc les acheter pour moins de 100 euros. Et ce n’est pas tout ! Car Zac propose aussi une garantie comme le neuf.
Ainsi, l’entreprise a permis de sauver plus de 170 000 paires. Au total, ce sont 30 % des lunettes qui sont reconditionnées. Et 40 % s’envolent pour des missions humanitaires.
Tout le reste sert à la formation et aux pièces détachées. Zac veut s’engager à réduire son impact environnemental. Pour cela, elle utilise des machines de seconde main qui fonctionnent en circuit fermé.
Le but est donc d’économiser de l’eau au maximum. À cela s’ajoutent des boîtes de collecte fabriquées à base de carton recyclé et recyclable à Calais. Ou encore des étuis en matière recyclée. Et des verres faits en France…
L’entreprise aide aussi à l’inclusion en embauchant des personnes en situation de handicap pour les missions de reconditionnement. Ainsi que des personnes en réinsertion chez AlterEos et Vitamine T.