Perdre un être cher n’est jamais une chose évidente. Afin de surmonter la peine, l’être humain tend alors à croire à l’existence d’un au-delà. Mais selon un scientifique américain une vie après la mort n’existe pas.
Une affirmation qui s’appuie sur les lois de la physique et la logique
Peu importe les convictions, chaque individu a ses croyances. Parmi cela le fait de croire qu’il y a un autre monde où une personne survit après son décès.
Néanmoins, le professeur de physique et de cosmologie à l’Institut de technologie de Californie Sean Carroll réfute cette pensée. D’ailleurs, il a exposé sa théorie au journal britannique Express.
Selon lui et il est catégorique, il n’existe pas une vie après la mort en raison des lois de la physique. En effet, pour survivre après la mort, il faudrait que la conscience soit entièrement séparée de notre corps physique.
Or, ce n’est pas le cas. Sean Carroll soutient que la conscience n’est rien d’autre qu’une composition d’atomes et d’électrons qui assure l’existence de l’esprit.
D’autre part, logiquement, les lois de l’univers ne permettent pas à ces particules de fonctionner après un décès. Il faudrait donc arrêter de croire que l’âme ou la conscience survit à la mort.
Une théorie bien argumentée
D’après le physicien, il est facile pour l’homme d’accepter les lois scientifiques, physiques et logiques qui existent. Cependant, il est difficile d’accepter la mort à cause de l’attachement à la personne aimée.
De plus, les informations stockées dans le cerveau ne durent pas après la mort en raison des lois de la physique. Autrement dit, la conscience ne peut stocker de l’information sans enveloppe corporelle.
Le scientifique justifie aussi sa réflexion en avançant la théorie quantique des champs (QFT). Selon lui, les tests sur cette dernière n’ont révélé que des atomes, non des particules d’esprit ou de forces spirituelles.
En soi, il n’y a donc aucun moyen que l’âme survive à la mort logiquement. Toutefois, le physicien n’a pas testé la mort lui-même. Il reste peut-être de l’espoir pour les ceux qui appuient leur conviction sur des croyances religieuses.
Finalement, quelles que soient les croyances, il vaut mieux juste vivre sa vie pleinement.