Pékin express 2023 débarque ce jeudi 16 février sur M6. L'occasion pour Stéphane Rotenberg de raconter sa pire expérience dans le programme !
C’est une très bonne nouvelle qui ravit les fans d’aventure… Pékin express 2023 est de retour ce jeudi 16 février sur M6. L’occasion pour Stéphane Rotenberg de dévoile une expérience très difficile dans le programme !
Pékin Express 2023 plus difficile que jamais !
Ce jeudi 16 février 2023, M6 vous propose un programme que vous aimez beaucoup… Il s’agit alors de Pékin Express ! Eh oui ! Vous pourrez regarder le premier épisode de la nouvelle saison à partir de 21h. Pour cette 17e édition, le rendez-vous a lieu dans trois pays différents. La Bolivie, le Paraguay et le Brésil !
Une aventure folle présentée par Stéphane Rotenberg qui promet de gros rebondissements ! En Amérique du Sud, les conditions sont différentes. Et les huit binômes vont devoir faire face à une nouvelle règle.
Pour la première fois dans Pékin Express, l’équipe arrivée dernière de l’étape ne sera plus la seule à décider du tandem qu’elle devra affronter pendant le duel final. En effet, sachez que toutes les équipes pourront voter à bulletins secrets. Stéphane Rotenberg a d’ailleurs donné plus de détail sur cette aventure plus que difficile.
Il a par exemple évoqué la pire expérience de sa vie dans l’émission. En effet, il a eu à faire avec une « paraponera clavata ». Il s’agit alors d’une fourmi balle de fusil.
C’est un drôle de nom pour désigner la férocité de cette bête. Elle inflige une très grosse douleur avec la piqure de son dard… Stéphane Rotenberg s’en souviendra toute la vie : « C’est la pire expérience que j’ai dû endurer car ça mord, c’est très agressif, et il n’y a pas de remède », a-t-il raconté sur RTL. Mais ce n’est pas tout ! Sur le plateau de BUZZ TV, il en dit plus sur les conditions difficiles du tournage.
Un manque d’oxygène qui se fait ressentir
Ce mercredi 15 février 2023, Stéphane Rotenberg était invité sur le plateau de Buzz TV. Il a parlé des conditions du tournage qui étaient assez difficiles. La raison ? Les équipes de Pékin Express sont passées d’un temps d’août à Paris à un temps beaucoup plus froid en Amérique du Sud.
Il n’a pas été facile de faire face à cette chute brutale des températures : « Pour le premier épisode, on a quitté Paris le 23 août, il faisait très chaud et beau et, on est arrivés à 4000 mètres d’altitudes à La Paz en hiver. Il faisait froid. Les candidats se sont baignés dans le lac Titicaca à 6 degrés, ils ont été saisis ! ».
Mais avant d’arriver à La Paz, les équipes de Pékin Express et les candidats ont dû passer des examens. En effet, ils ont fait une batterie de tests médicaux. Et encore une fois, Stéphane Rotenberg se souvient de la difficulté de cette épreuve : « On pédale sur un vélo avec un masque pour vous retirer de l’oxygène et on voit si votre cœur tient. On sort de la voiture, on fait trois pas et on se rend compte qu’il faut ralentir car on est essoufflés. Tandis qu’on voit les Boliviens qui cavalent dans tous les sens, l’orgueil en prend un coup «
Stéphane Rotenberg ajoute aussi qu’il a dû prendre une bonbonne à oxygène lorsqu’il se déplaçait : « On avait tous ça dans la voiture au cas où, car on avait souvent mal au crâne. On avait aussi un caisson Isobar. Les premières nuits, on a des crises d’apnée. On n’arrive pas à dormir, on a le souffle court. C’est un peu pénible mais le pays est tellement beau et fulgurant »