Un voyageur dans le temps de 2030 se rencontre lui-même 40 ans plus tard

Un homme qui prétend venir de l’année 2030 raconte qu’il « s’est rencontré » en 2070. Oui, vous avez bien lu.

Les deux hommes, qui disent s’appeler tous les deux Noah Novak, ont ensemble donné une interview pour étayer leurs affirmations.

Dans la vidéo, Noah Novak insiste sur le fait que l’homme assis à ses côtés (qui s’appelle aussi Noah Novak, selon lui) lui a fourni des informations qui l’amènent à croire qu’ils sont, en réalité, une seule et même personne.

Nous ignorons de quelles informations il s’agit, car elles seraient « classifiées. » Si elles venaient à être éventées, le gouvernement pourrait s’en prendre à eux. Oui, tout cela a l’air bien réglo…

Le Noah de 2030 a expliqué :

« Il [le Noah de 2070] a montré un tas de renseignements personnels, il a dit un tas de choses que j’ai faites.

 Il m’a dit tout ce que j’ai fait, et c’est le genre de choses que seul quelqu’un qui m’ait traqué continuellement peut découvrir. »

Il n’y a aucun moyen qu’il puisse apprendre tout ça à moins qu’il ne m’ait suivi depuis le tout début. »

Mais les Noah ont-ils des prédictions pour l’avenir ? Apparemment, Donald Trump sera réellement en 2020. Bien qu’il soit en effet actuellement le favori des bookmakers, ce n’est guère une preuve tangible.

Ils nous apprennent aussi que l’I.A va devenir la forme dominante de la technologie. Mais bon, tout le monde le dit depuis des années.

Autre nouvelle, la vie sur Mars sera bientôt une réalité et le Bitcoin deviendra la principale monnaie mondiale.

À y réfléchir, aucune de ces prédictions ne semble particulièrement saugrenue. Mais les deux Noah soulignent toutefois que le monde va changer radicalement dans les années à venir :

« Les rues seront complètement dépourvues de voitures. J’ai regardé en haut, et elles volaient au-dessus de moi. Il y en avait tellement dans l’air. »

Nous attendons avec impatience de voir combien de ces prédictions deviendront réalité. Mais quant à un voyage dans le temps des Noah, nous n’en sommes pas très sûrs.